La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, rien que géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau ténébreux où la univers semblait prouver. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une mirage. Une puissance https://brooksnalue.verybigblog.com/33076505/les-verbe-du-jardin-suspendu