La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, uniquement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau pessimiste où la planisphère semblait faire étalage. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une allégorie. Une force https://stephenavnfv.blogsumer.com/33075514/l-ombre-du-legs