Florence s’éveillait marqué par un ciel voilé de cendres. Le Grand Bûcher, consumé parallèlement la nuit, laissait en arrière lui une vie recouverte d’un manteau de suie. L’odeur persistante du papier brûlé flottait encore dans l’air, évoquant aux habitants la dépuration imposée par l’Inquisition. Mais au-delà des cendres, une rumeur https://zanezfgcw.anchor-blog.com/14402732/l-embrasement-du-destin