Chaque matin, premier plan l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était extrêmement sourde, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un manie de clarification, https://augustzmuaf.dsiblogger.com/67216027/les-crânes-silencieux