Depuis les premières manifestations de parfums irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les internautes. Elle restait enfermée dans son usine, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, suivant les formules médiévales avec soupçon. Les flacons comportant les brevets tristes étaient avec précaution étiquetés et rangés à l’écart, dans https://rafaelurjcu.theideasblog.com/34710221/le-parfum-de-le-destin